À Petit-Mars (44), cinq éleveurs ont investi dans un séchoir collectif en Cuma. Ils y sèchent principalement des fourrages, et obtiennent des teneurs en protéines, élevées. Cet outil augmente l’autonomie protéique territoriale. Mais à l’échelle de l’exploitation, l’indépendance à 100 % est difficile à atteindre à cause des sécheresses estivales.
L’odeur de foin est perceptible dès l’extérieur du bâtiment. Samuel Retière, l’un des cinq éleveurs adhérents du séchoir collectif de la Cuma des Volontaires, à Petit-Mars (44), confie que si le foin est très appétant pour les vaches, il l’est aussi pour les humains. Récemment, un restaurateur étoilé du secteur s’est ainsi intéressé au produit ! Continuer la lecture sur aladin.farm.